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. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Henri Fantin-Latour (1836-1904)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Un atelier au Batignolles, 1870.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Paris Musée d’ Orsay
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Les Batignolles étaient le quartier où vivaient Manet et un certain nombre des futurs impressionnistes.
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Fantin-Latour, témoin discret de cette époque, rassemble autour de Manet, consacré chef d’école, de jeunes artistes aux idées novatrices.
De gauche à droite, on peut reconnaître Otto Schölderer, peintre allemand venu en France rencontrer les disciples de Courbet ; Manet, assis devant son chevalet, Auguste Renoir, coiffé d’un chapeau, Zacharie Astruc, sculpteur et journaliste, Emile Zola, porte-parole du renouveau de la peinture, Edmond Maître, fonctionnaire à l’hôtel de ville, Frédéric Bazille, qui sera tué quelques mois plus tard, à l’âge de vingt-six ans, pendant la guerre de 1870 (il était si grand .. il fit une bonne cible), enfin, Claude Monet.
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Otto Schölderer
(25 janvier 1834-22 janvier 1902) est un peintre allemand.
Au cours de sa carrière il se consacra d’abord aux paysages, puis aux portraits* et natures mortes.
Il est représenté sur la toile d’ Henri Fantin-Latour. Une chance pour nous de connaître son visage.
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* A musée des Beaux-Arts de Rouen, il est présent avec une toile représentant un portrait d’ une jeune femme à la chevelure rousse flamboyante .
Une raison de plus d’aller voir cette exposition qui se tiendra jusqu’au 22 septembre 2016.